Sokaro, le fléau féminin
2 participants
Page 1 sur 1
Sokaro, le fléau féminin
par Sokaro Yeeghar Jeu 4 Aoû - 13:03
SOKARO YEEGHAR
« Courir ? Crier ? Prier ? Mais pourquoi faire ? Tu es déjà piégée. »
۞ NOM : Yeeghar ۞ PRÉNOM(S) : Sokaro ۞ SURNOM : « YAMETEEEE !!! » ۞ AGE : 23 ans, toutes les dents ! ۞ SEXE : Masculin, ne m'assimiles jamais à une de ces *censure* ۞ RACE : Humain, je suis normal moi. ۞ ORIENTATION SEXUELLE : Hétérovore... ... ~ ۞ GROUPE : Immunisé, les voies du seigneur sont... ۞ EMPLOI : Manager en plaisir humain... ? Du moins c'est ce que je dis. (Enfin, c'est un proxénète) ۞ AVATAR : Orihara Izaya ۞ DOUBLE COMPTE ? NON ۞ NIVEAU RP : Huuum... Disons que je me débrouille, j'adore faire des RP un peu stratégique où j'essaye d'entourlouper mes partenaire. Enfin, si le contexte du forum ainsi que le personnage conviennent à ce genre d'attitude. On va dire que j'ai un niveau acceptable, j'aime faire des textes de longueur modérée sans qu'ils ne soient dénués de sens, bien souvent soit on apprécie mes posts, soit on en comprend un certain défis. |
PSYCHOLOGICAL CONFESSIONS
Sokaro est une personne assez étrange et très contradictoire avec elle même. Si l'on veut, c'est un grand criminel, avec de mauvaises manies, des manières de faire très violentes et cruelles, mais avec un grand cœur. Vous ne pensez pas que ça puisse exister ? C'est pourtant bien ce qu'est Sokaro. Il a un mental d'acier, du fait qu'il gère sa propre entreprise, seul et surtout sans aucun partenaire direct, il n'aime pas les intermédiaires et ne passe par personnes pour commander ses « objets ». Il est quelque peu capricieux et très dépensier, surtout pour ses activités favorites tels que le shopping ou les jeux d'argents, et cela lui a permis d'atteindre un seuil de vie assez enviable. Il n'aime pas du tout les femmes, les traitant sans aucun respect ni même empathie, spectacle assez dur à soutenir pour la plupart des spectateurs. En revanche, et cela est le plus étonnant, il voue un culte aux hybrides, surtout celles de sexe féminin, rejetant totalement leurs homologues humains. Il les traite comme des reines, les pouponnant, étant aux petits soins, il devient un véritable esclaves aux ordres les plus fous s'il le faudrait. S'il possède bien une qualité en tout cas, c'est d'être très discret, et surtout manipulateur, c'est grâce à ces deux talents qu'il peut encore exercer son activité sans aucun soucis, ou du moins, en déjouant aisément ceux qui pourraient arriver. D'un tempérament assez enjoué, il peut paraître de temps en temps un peu immature, mais son mauvais coté peut ressortir même dans ces moments là, faisant de lui un être assez… Lunatique. Ce qui fait de lui un parfait maître dans l'art qu'il exerce, le détournement de personnes ainsi que le contrôle des prostituées de Araluen
BODY ANALYSE
Grand, musclé et se tenant souvent avec une nonchalance qui lui donne une certaine classe, Sokaro semble avoir une attitude qui intéresse fortement les femmes. Son air lui donne un coté mystérieux qui séduit rapidement et pousse à vouloir en savoir plus sur lui, malheurs à celles qui ont essayés et qui sont maintenant prisonnières de ses griffes… Pour ce qui est de son style vestimentaire, il est assez sombre et discret, tout autant que le personnage en quelque sorte, et est assez ample pour lui permettre de bien bouger. Ce qu'il y a en dessous est un corps bien proportionné mais tâchés de certains dessins à coup d'encre, et d'autres endroits des cicatrices ci et là. Son visage est assez bien travaillé, des lèvres assez fines pour sourire sans avoir honte, donnant parfois une touche de sarcasme ou de sadisme à ses expressions. Un nez discret qui ne lui porte pas préjudice, un regard qui perce jusqu'au plus profond de l'âme avec des yeux marrons et assez petit. Des cheveux d'un noir corbeau en bataille qui ne font qu'inviter les femmes à vouloir passer leurs doigts à l’intérieur… Bref, Sokaro est un piège vivant pour la gente féminine japonaise, ayant étudié un maximum leurs envies, leurs codes, leurs fantasmes, pour incarner l'homme idéal qu'elles veulent toute s'arracher. Plus beau est le leurre, plus stupide est la proie.
DIVINE POWER
A quoi t'attends-tu ? Je suis un humain ! Enfin, ce n'est pas un pouvoir en soit, mais je ne suis visiblement pas une cible potentielle pour le virus Andoras. Je me suis donc auto proclamé immunisé.
STORYLINE OF THE CHARACTER
Je n'ai pas une histoire des plus intéressante, disons que je sais d'où je viens et ça me suffit largement. Je suis né il y a 23 ans de ça, abandonné à la naissance par ma vrai mère, celle qui m'a adopté ne voulait pas faire d'enfant et du coup mon père à été obligé de faire appel à une mère porteuse… Oui, rien qu'à la naissance certaines personnes ne voulaient déjà pas de moi. Mon père dirigeait une grande chaîne d'entreprises, une charge de travail énorme et un stress constant qu'importe les situations. Ma mère ? Enfin, celle qui était la femme de mon père, était là juste pour profiter de lui, ni plus, ni moins. Non désiré de ma mère, j'étais tout le temps géré par mon père qui lui était vraiment désireux d'avoir un enfant, un enfant pour la succession de son entreprise. Sauf que mon père était assez âgé, il avait déjà 48 ans…
Mon enfance se passait bien, sans vraiment trop comprendre pourquoi ma mère ne voulait pas de moi, me rejetais toujours de manière assez froide, j'évoluais dans un milieu très masculin avec mon père. Il me racontait des histoires, ses histoires. J'étais passionné par mon père, il avait fait tellement de chose, l'armée, sauver des gens, des voyage partout dans le monde, j'étais très attaché à lui, et lui à moi. Il souriait toujours avec moi, il ne souriait pas avec ma mère. Non, il souriait, mais il était triste, même enfant on ressent ces choses là, plus que les adultes. Pour lui plaire, il lui offrait tout, des cadeaux, des sorties, des voyages, des compliments, mon père ne savait plus quoi faire pour attirer l'attention de ma mère. Mais ma mère semblait d'avantage plus proche de mon oncle que de mon père, je pense que vous avez compris.
En fait, ma mère était plus proche de n'importe quel homme que mon père, je l'ai compris en grandissant, mais au début je ne savais pas… Au moins deux fois par jour, ma mère, qui disait toujours qu'elle travaillait dans les « Ressources humaines et l'attention aux travailleurs », avait des rendez-vous important alors que papa était en train de travailler, et parfois même certains rendez vous étaient de soir, sur l'extérieur, puis dans la maison… Mais un enfant ne comprend pas tout ça… Puis j'étais content de voir mon oncle au moins quatre fois par semaine…
J'étais bien éduqué, et à mes quinze an j'étais suffisamment intelligent pour tout comprendre. C'est là que j'apprenais que le monde était en proie à un certains virus et qu'il fallait s'adapter pour lui résister… Mais tout de même, ces manières… Ce n'est absolument pas correct de faire de tels choses avec autant de personnes… Je regardais à présent ma mère avec dégoût, mon oncle avec rage, et mon père avec pitié… Je ne pouvais plus supporter ce genre de choses, mon père était dans un état de souffrance grave, j'essayais de discuter avec lui, mais souvent il me disait
- Tu sais, j'aime ta mère… C'est juste que nous sommes un peu fâché…
Et de l'autre coté, quand j'essayais de demander à ma mère elle n'avait rien d'autre à dire que :
- Mon travail me prend beaucoup de temps. Ton père n'est pas assez compétent pour demander mes rendez-vous. Maintenant arrête de me faire chier, j'ai le prochain rendez-vous qui arrive.
Qu'elle me disait en ajustant son soutient gorge et sa robe à travers laquelle on voyait son odieux string. Mon père, quant à lui, tenta un peu plus tard après mon anniversaire de se suicider, mais finalement, avant qu'il ne réussisse à n'avaler le moindre cachet, il fut prit d'une crise cardiaque et mourut seul dans son bureau… Trop jeune pour travailler, ce fut mon oncle qui reprit l'affaire familiale, moi, j'étais contraint de rester avec ma mère par le testament de mon père, pour ne pas avoir de difficulté financière…
Cependant, je n'en pouvais plus, des hommes défilaient à la maison, avec d'autres femmes, il y avait des fête, ou tout le monde baisait ensemble, comme des animaux, des horreur et abominations… Les femmes sont des êtres abjects… Je finissais par faire une fugue, avec ce que j'avais comme bagage, je fuyait une vie pourrie, du moins que je jugeais comme telle. Pas moins d'un jour n'a suffit à ce que je sois retrouvé malheureusement, finissant battu par mon oncle pour ce que j'avais fait, et ma mère également. C'est à partir de ce moment là que… Je tournais mal… La douleur n'est qu'une onde électrique perçue par le cerveau, une réaction naturelle et instinctive du corps, mais l'humiliation, c'est autre chose, une chose qui reste ancré dans les neurones, une chose qui ne se défait pas simplement…
Ma mère, puisqu'elle ne m'avait jamais désiré, me détestait, je n'étais même pas son enfant, alors elle voulait me le faire savoir et comprendre, qu'à cause de moi, elle avais faillit tout perdre, l'argent de mon père, la maison, tout. C'est alors qu'elle me punissait… Enfin, qu'elle me punissait… Elle s'amusait avec mon corps, expérimentant de nouvelles choses sexuelle, testait les résistances physique d'un corps d'adolescent… Je pourrais bien en vomir rien qu'à m'en rappeler. Cette souffrance dura environ… Je ne sais pas moi, quatre long mois… Oui, peut être un peu plus, c'est déjà suffisant pour ruiner l'esprit de quelqu'un sans en laisser une seule miette… C'est la police qui est venu à mon secours, autant nous étions très éloigné de la ville, autant une poignée de client de ma mère étaient à moitié saint d'esprit et elle fut dénoncée, elle et mon oncle… Mon oncle nia forcement toute liaison pour garder la face et protéger la famille, de toute manière lui ne m'avait jamais rien fait. Ma mère fut jeté en prison, une bien maigre punition pour ce que j'ai subis… Moi ? L'histoire ne s'arrête pas sur ce paragraphe…
Après une hospitalisation, je fus envoyé en famille d'accueil avec un suivit psychiatrique… Fou me pensait-on ? Non, simplement très dépressif, et pour cause, je n'ouvrais plus la bouche… Du tout, jamais… Je n'étais plus qu'un pantin, vide à l'intérieur. La famille qui m'accueillait était plutôt neutre, il y avait une bonne entente dans la famille la bas, ils comprenaient que j'avais des soucis avec les femmes rapidement, je ne laissais ni leur fille, ni la mère approcher à moins de deux mètre, lançant un regard des plus noir, comme un chat qui sort ses griffes pour faire fuir quelque chose. J'étais comme ça aussi avec Maiko, une autre femme, elle devait avoir la vingtaine d'années, elle était étrange, mon père m'avait parlé de ce genre de personnes, les Hybrides… Au début, les premiers mois, je ne faisais pas de distinctions entre elle et les autres femmes, puis, au fur et à mesure, je me rendais compte qu'elle aussi était esclave ou dépendante de quelque chose, qu'elle aussi, souriait sans vraiment vouloir comprendre ce qui lui arrivait, qu'elle aussi, était triste au fond d'elle… Mais pourtant toujours aux petits soins pour moi… Alors que ma famille d'accueil perdait de plus en plus patience, ils s'énervaient un peu contre moi, constatant leur échec, mais Maiko prenait assez souvent ma défense, quitte à défier ses « maîtres », c'est pourquoi elle prenait ces coups, et moi non. Au soir, nous dormions à présent dans la même chambre, et elle me bordait, comme une grande sœur, elle me rassurait, m'aidait, c'est à elle que je pu reparler pour la première fois, un timide, écorché et surtout affreux.
- Pardon…
Sortit de ma bouche, ma voix était abominable, poussiéreuse, usée, par les cris, mais aussi par l'abstinence de parole. J'étais bien avec cette étrange femme aux attribut animaliers ressemblant fortement à des oreilles et une queue de loup. Bien comme je ne l'avais jamais été avec une femme jusqu'à maintenant, la casant alors dans une catégorie autre que celle de la femme, elle et toutes les autres de son espèce subissant le même sort… Je n'ai pour ma part, jamais pu lui avouer mon histoire, trop honteux pour ça, mais grâce à elle je revivais, ou plutôt, je revivais pour elle… Ignorant toujours mes parents adoptifs en ne privilégiant que Maiko. La mère de la famille, très mécontente de ne pas y arriver alors « Qu'une esclave de merde » pouvait le faire, fut un jour en proie à une dispute avec ma grande sœur… Elle la poussa dans les escaliers… Elle se claquait la tête contre un coin de marche, beaucoup de sang coulait de sa tête… Je m'étais précipité pour voir comment elle allait, et son corps ne répondait plus à ma voix, à mes cris, à mes pleurs, jamais plus elle ne sourirait, ne me ferait rire, ne me parlerais…
Une colère noire monta en moi, je tentais de monter pour aller tuer cette personne qui m'avait enlevé celle qui comptait vraiment pour moi, encore une femme de merde, une de ces grosse salope qui ne pensent qu'à se faire fourrer pour le pognon ou juste pour l'amusement… J'allais l'étrangler, oui, j'allais vraiment la tuer, mais fut retenu par le père, qui tentait de me canaliser, mais seuls les pompiers ont réussis ce jour là, je fut retiré de la famille d'accueil en question, remis dans la chaîne sociale… J'ai tenté par la suite de savoir ce qui s'était passé, mais au final, a cause de notre éloignement avec les grandes villes, le traitement du virus ainsi que les procédures en place et le manque de temps du coté juridique, le dossier à été clos… Alors c'est ainsi… Lorsque l'on dit que la justice est une femme juste, je ne pensais pas qu'elle était également une prostituée… Je ne peux plus avoir confiance en rien désormais, sauf en ces curieux hybrides, m'enfermant de nouveau dans mon mutisme pendant un long moment…
Jugé capable de vivre seul, une fois que j'atteignais la majorité donc, on me confiait un logement social où je pourrais m'épanouir. Je ne souhaitais pas vraiment vivre à présent, mais l'idée de pouvoir découvrir le monde et connaître d'autres hybrides m'attirait beaucoup. C'est alors que je me suis mis à trouver un travail, évitant toujours les femmes, mais irrémédiablement, je ne pouvais pas le faire. Alors je tentais de reprendre les études, restant dans mon coin, partant en faculté des sciences psychologiques, pour mieux comprendre ce qui m'arrivait et ce qu'il se passait dans la tête de ces personnes… Et je comprenais… C'était assez clair… Les femmes étaient donc bien comme je les décrivais, ou du moins je les percevais ainsi, ça n'avait aucun rapport avec cette prétendue maladie, elles sont de bases perverties et sales. Peut être est-ce même elles l'origine de cette épidémie, et qu'en temps qu'homme pur je ne suis pas tombé malade. C'est alors qu'une demoiselle assez timide me tournait autour, je la laissais m'accoster un peu, faisant semblant d'être intéressé, puis l'amenais chez moi. C'est là qu'elle passait la pire soirée de sa vie, j'avais appelé des amis pour qu'ils « s'occupent » d'elle moyennant finance, on a pas trop de problèmes avec les étudiants, ils veulent juste s'amuser, donc ça ne va pas plus loin niveau judiciaire.
La petite demoiselle était tremblante de peur, je l'avais bâillonné, attaché solidement à une poutre de l'appartement, les yeux bandés. Elle ne tremblait que pendant la première semaine, puis, comme le démontraient mes recherches, elle devint aussi docile qu'une chienne bien dressée. A chaque fois que les autres étudiants venaient pour coucher avec elle, elle criait son plaisir en hurlant qu'elle adorait les bites… Je me faisais de plus en plus d'argent de cette manière, puis j'ai commencé à séduire une autre fille pour arriver à ce genre de résultat, puis une autre… Puis des fois je faisais pression sur elles avec un loyer que je payais, une famille que je dénigrais, un membre de famille que je persécutais… Mais au final, on revenait toujours au même point, que ça ne prenne que trois jours pour la plus rapide, ou quatre mois pour la plus résistante, elles finissaient toutes brisées et soumises, adorant les sévices qu'elles subissaient.
Pour ne pas mentir, j'étais assez satisfait de ce que je faisais et je m'amusais de temps en temps avec ces filles… Attention, rien de sexuel me concernant, je n'irais pas faire ça avec ces déchets, j'ai encore du respect pour mon corps… Non, je les maltraitais, les soumettais, leur faisais subir les humiliations et les souffrances l'un après l'autre. Les plus masochistes en redemandaient, les plus saines d'esprits en finissaient avec les larmes aux yeux mais avec finalement un remerciement pour leur avoir fait autant de mal… Les femmes sont des cinglées, ni plus, ni moins… C'est pour ça que je tiens à respecter mon corps pour une hybride, une hybride que je pourrais un jour demander en mariage et aimer simplement. J'avais réussis à mettre de côté assez d'argent pour aller voyager, et j'avais précisément entendu parler d'une ville où l'on tentait d'éradiquer ce virus… D'une part, le monde s'en porterais mieux, même si les femmes resteront ce qu'elles sont, d'une autre part, ça ne ferait qu’entacher mon commerce… Je dois donc infiltrer cette ville comme un parasite et essayer de renverser ce dôme, mon installation est prévue pour les jours à suivre, espérons que tout se passe sans encombre. En attendant, il me reste du travail, j'ai quelques « Rendez-vous professionnels »...
Mon enfance se passait bien, sans vraiment trop comprendre pourquoi ma mère ne voulait pas de moi, me rejetais toujours de manière assez froide, j'évoluais dans un milieu très masculin avec mon père. Il me racontait des histoires, ses histoires. J'étais passionné par mon père, il avait fait tellement de chose, l'armée, sauver des gens, des voyage partout dans le monde, j'étais très attaché à lui, et lui à moi. Il souriait toujours avec moi, il ne souriait pas avec ma mère. Non, il souriait, mais il était triste, même enfant on ressent ces choses là, plus que les adultes. Pour lui plaire, il lui offrait tout, des cadeaux, des sorties, des voyages, des compliments, mon père ne savait plus quoi faire pour attirer l'attention de ma mère. Mais ma mère semblait d'avantage plus proche de mon oncle que de mon père, je pense que vous avez compris.
En fait, ma mère était plus proche de n'importe quel homme que mon père, je l'ai compris en grandissant, mais au début je ne savais pas… Au moins deux fois par jour, ma mère, qui disait toujours qu'elle travaillait dans les « Ressources humaines et l'attention aux travailleurs », avait des rendez-vous important alors que papa était en train de travailler, et parfois même certains rendez vous étaient de soir, sur l'extérieur, puis dans la maison… Mais un enfant ne comprend pas tout ça… Puis j'étais content de voir mon oncle au moins quatre fois par semaine…
J'étais bien éduqué, et à mes quinze an j'étais suffisamment intelligent pour tout comprendre. C'est là que j'apprenais que le monde était en proie à un certains virus et qu'il fallait s'adapter pour lui résister… Mais tout de même, ces manières… Ce n'est absolument pas correct de faire de tels choses avec autant de personnes… Je regardais à présent ma mère avec dégoût, mon oncle avec rage, et mon père avec pitié… Je ne pouvais plus supporter ce genre de choses, mon père était dans un état de souffrance grave, j'essayais de discuter avec lui, mais souvent il me disait
- Tu sais, j'aime ta mère… C'est juste que nous sommes un peu fâché…
Et de l'autre coté, quand j'essayais de demander à ma mère elle n'avait rien d'autre à dire que :
- Mon travail me prend beaucoup de temps. Ton père n'est pas assez compétent pour demander mes rendez-vous. Maintenant arrête de me faire chier, j'ai le prochain rendez-vous qui arrive.
Qu'elle me disait en ajustant son soutient gorge et sa robe à travers laquelle on voyait son odieux string. Mon père, quant à lui, tenta un peu plus tard après mon anniversaire de se suicider, mais finalement, avant qu'il ne réussisse à n'avaler le moindre cachet, il fut prit d'une crise cardiaque et mourut seul dans son bureau… Trop jeune pour travailler, ce fut mon oncle qui reprit l'affaire familiale, moi, j'étais contraint de rester avec ma mère par le testament de mon père, pour ne pas avoir de difficulté financière…
Cependant, je n'en pouvais plus, des hommes défilaient à la maison, avec d'autres femmes, il y avait des fête, ou tout le monde baisait ensemble, comme des animaux, des horreur et abominations… Les femmes sont des êtres abjects… Je finissais par faire une fugue, avec ce que j'avais comme bagage, je fuyait une vie pourrie, du moins que je jugeais comme telle. Pas moins d'un jour n'a suffit à ce que je sois retrouvé malheureusement, finissant battu par mon oncle pour ce que j'avais fait, et ma mère également. C'est à partir de ce moment là que… Je tournais mal… La douleur n'est qu'une onde électrique perçue par le cerveau, une réaction naturelle et instinctive du corps, mais l'humiliation, c'est autre chose, une chose qui reste ancré dans les neurones, une chose qui ne se défait pas simplement…
Ma mère, puisqu'elle ne m'avait jamais désiré, me détestait, je n'étais même pas son enfant, alors elle voulait me le faire savoir et comprendre, qu'à cause de moi, elle avais faillit tout perdre, l'argent de mon père, la maison, tout. C'est alors qu'elle me punissait… Enfin, qu'elle me punissait… Elle s'amusait avec mon corps, expérimentant de nouvelles choses sexuelle, testait les résistances physique d'un corps d'adolescent… Je pourrais bien en vomir rien qu'à m'en rappeler. Cette souffrance dura environ… Je ne sais pas moi, quatre long mois… Oui, peut être un peu plus, c'est déjà suffisant pour ruiner l'esprit de quelqu'un sans en laisser une seule miette… C'est la police qui est venu à mon secours, autant nous étions très éloigné de la ville, autant une poignée de client de ma mère étaient à moitié saint d'esprit et elle fut dénoncée, elle et mon oncle… Mon oncle nia forcement toute liaison pour garder la face et protéger la famille, de toute manière lui ne m'avait jamais rien fait. Ma mère fut jeté en prison, une bien maigre punition pour ce que j'ai subis… Moi ? L'histoire ne s'arrête pas sur ce paragraphe…
Après une hospitalisation, je fus envoyé en famille d'accueil avec un suivit psychiatrique… Fou me pensait-on ? Non, simplement très dépressif, et pour cause, je n'ouvrais plus la bouche… Du tout, jamais… Je n'étais plus qu'un pantin, vide à l'intérieur. La famille qui m'accueillait était plutôt neutre, il y avait une bonne entente dans la famille la bas, ils comprenaient que j'avais des soucis avec les femmes rapidement, je ne laissais ni leur fille, ni la mère approcher à moins de deux mètre, lançant un regard des plus noir, comme un chat qui sort ses griffes pour faire fuir quelque chose. J'étais comme ça aussi avec Maiko, une autre femme, elle devait avoir la vingtaine d'années, elle était étrange, mon père m'avait parlé de ce genre de personnes, les Hybrides… Au début, les premiers mois, je ne faisais pas de distinctions entre elle et les autres femmes, puis, au fur et à mesure, je me rendais compte qu'elle aussi était esclave ou dépendante de quelque chose, qu'elle aussi, souriait sans vraiment vouloir comprendre ce qui lui arrivait, qu'elle aussi, était triste au fond d'elle… Mais pourtant toujours aux petits soins pour moi… Alors que ma famille d'accueil perdait de plus en plus patience, ils s'énervaient un peu contre moi, constatant leur échec, mais Maiko prenait assez souvent ma défense, quitte à défier ses « maîtres », c'est pourquoi elle prenait ces coups, et moi non. Au soir, nous dormions à présent dans la même chambre, et elle me bordait, comme une grande sœur, elle me rassurait, m'aidait, c'est à elle que je pu reparler pour la première fois, un timide, écorché et surtout affreux.
- Pardon…
Sortit de ma bouche, ma voix était abominable, poussiéreuse, usée, par les cris, mais aussi par l'abstinence de parole. J'étais bien avec cette étrange femme aux attribut animaliers ressemblant fortement à des oreilles et une queue de loup. Bien comme je ne l'avais jamais été avec une femme jusqu'à maintenant, la casant alors dans une catégorie autre que celle de la femme, elle et toutes les autres de son espèce subissant le même sort… Je n'ai pour ma part, jamais pu lui avouer mon histoire, trop honteux pour ça, mais grâce à elle je revivais, ou plutôt, je revivais pour elle… Ignorant toujours mes parents adoptifs en ne privilégiant que Maiko. La mère de la famille, très mécontente de ne pas y arriver alors « Qu'une esclave de merde » pouvait le faire, fut un jour en proie à une dispute avec ma grande sœur… Elle la poussa dans les escaliers… Elle se claquait la tête contre un coin de marche, beaucoup de sang coulait de sa tête… Je m'étais précipité pour voir comment elle allait, et son corps ne répondait plus à ma voix, à mes cris, à mes pleurs, jamais plus elle ne sourirait, ne me ferait rire, ne me parlerais…
Une colère noire monta en moi, je tentais de monter pour aller tuer cette personne qui m'avait enlevé celle qui comptait vraiment pour moi, encore une femme de merde, une de ces grosse salope qui ne pensent qu'à se faire fourrer pour le pognon ou juste pour l'amusement… J'allais l'étrangler, oui, j'allais vraiment la tuer, mais fut retenu par le père, qui tentait de me canaliser, mais seuls les pompiers ont réussis ce jour là, je fut retiré de la famille d'accueil en question, remis dans la chaîne sociale… J'ai tenté par la suite de savoir ce qui s'était passé, mais au final, a cause de notre éloignement avec les grandes villes, le traitement du virus ainsi que les procédures en place et le manque de temps du coté juridique, le dossier à été clos… Alors c'est ainsi… Lorsque l'on dit que la justice est une femme juste, je ne pensais pas qu'elle était également une prostituée… Je ne peux plus avoir confiance en rien désormais, sauf en ces curieux hybrides, m'enfermant de nouveau dans mon mutisme pendant un long moment…
Jugé capable de vivre seul, une fois que j'atteignais la majorité donc, on me confiait un logement social où je pourrais m'épanouir. Je ne souhaitais pas vraiment vivre à présent, mais l'idée de pouvoir découvrir le monde et connaître d'autres hybrides m'attirait beaucoup. C'est alors que je me suis mis à trouver un travail, évitant toujours les femmes, mais irrémédiablement, je ne pouvais pas le faire. Alors je tentais de reprendre les études, restant dans mon coin, partant en faculté des sciences psychologiques, pour mieux comprendre ce qui m'arrivait et ce qu'il se passait dans la tête de ces personnes… Et je comprenais… C'était assez clair… Les femmes étaient donc bien comme je les décrivais, ou du moins je les percevais ainsi, ça n'avait aucun rapport avec cette prétendue maladie, elles sont de bases perverties et sales. Peut être est-ce même elles l'origine de cette épidémie, et qu'en temps qu'homme pur je ne suis pas tombé malade. C'est alors qu'une demoiselle assez timide me tournait autour, je la laissais m'accoster un peu, faisant semblant d'être intéressé, puis l'amenais chez moi. C'est là qu'elle passait la pire soirée de sa vie, j'avais appelé des amis pour qu'ils « s'occupent » d'elle moyennant finance, on a pas trop de problèmes avec les étudiants, ils veulent juste s'amuser, donc ça ne va pas plus loin niveau judiciaire.
La petite demoiselle était tremblante de peur, je l'avais bâillonné, attaché solidement à une poutre de l'appartement, les yeux bandés. Elle ne tremblait que pendant la première semaine, puis, comme le démontraient mes recherches, elle devint aussi docile qu'une chienne bien dressée. A chaque fois que les autres étudiants venaient pour coucher avec elle, elle criait son plaisir en hurlant qu'elle adorait les bites… Je me faisais de plus en plus d'argent de cette manière, puis j'ai commencé à séduire une autre fille pour arriver à ce genre de résultat, puis une autre… Puis des fois je faisais pression sur elles avec un loyer que je payais, une famille que je dénigrais, un membre de famille que je persécutais… Mais au final, on revenait toujours au même point, que ça ne prenne que trois jours pour la plus rapide, ou quatre mois pour la plus résistante, elles finissaient toutes brisées et soumises, adorant les sévices qu'elles subissaient.
Pour ne pas mentir, j'étais assez satisfait de ce que je faisais et je m'amusais de temps en temps avec ces filles… Attention, rien de sexuel me concernant, je n'irais pas faire ça avec ces déchets, j'ai encore du respect pour mon corps… Non, je les maltraitais, les soumettais, leur faisais subir les humiliations et les souffrances l'un après l'autre. Les plus masochistes en redemandaient, les plus saines d'esprits en finissaient avec les larmes aux yeux mais avec finalement un remerciement pour leur avoir fait autant de mal… Les femmes sont des cinglées, ni plus, ni moins… C'est pour ça que je tiens à respecter mon corps pour une hybride, une hybride que je pourrais un jour demander en mariage et aimer simplement. J'avais réussis à mettre de côté assez d'argent pour aller voyager, et j'avais précisément entendu parler d'une ville où l'on tentait d'éradiquer ce virus… D'une part, le monde s'en porterais mieux, même si les femmes resteront ce qu'elles sont, d'une autre part, ça ne ferait qu’entacher mon commerce… Je dois donc infiltrer cette ville comme un parasite et essayer de renverser ce dôme, mon installation est prévue pour les jours à suivre, espérons que tout se passe sans encombre. En attendant, il me reste du travail, j'ai quelques « Rendez-vous professionnels »...
۞ PRÉNOM OU PSEUDO : Doji ! ۞ AGE DU JOUEUR : 19 ans ۞ COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? J'ai été ramené par Mai ۞ UN MOT SUR LE FORUM? J'ai vu quelques petites choses qui me laissaient perplexe quand à ma venu mais l'information est remontée. J'ai vraiment bien accroché le contexte, ça m'a l'air tangible et laisse beaucoup de possibilité dans le temps, en un mot, j'aime. ۞ PRÉSENCE SUR LE FORUM ?(facultatif): Souvent |
Dernière édition par Sokaro Yeeghar le Jeu 4 Aoû - 18:46, édité 1 fois
Sokaro Yeeghar- Messages : 34
Date d'inscription : 04/08/2016
Feuille de personnage
Race: Humain
fiches personnage:
Sexualité: Hybridosexuel
Re: Sokaro, le fléau féminin
par Invité Jeu 4 Aoû - 13:32
IZAYAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA ♥♥♥♥ *arrêt cardiaque* x______x
Bordel t'es vraiment mauvais toi ... Pourquoi tu prends un dieu pour faire un salaud ? D''': Tu es cruel ;____; (mais bon c'est pas ça qui va m'empêcher de te violer *fuis très loin*)
Bienvenue mon petit Sokaro ♥
Bordel t'es vraiment mauvais toi ... Pourquoi tu prends un dieu pour faire un salaud ? D''': Tu es cruel ;____; (mais bon c'est pas ça qui va m'empêcher de te violer *fuis très loin*)
Bienvenue mon petit Sokaro ♥
Invité- Invité
Re: Sokaro, le fléau féminin
par Oberon Verister Blade Jeu 4 Aoû - 14:28
Bon bon bon allons inspecter cet homme~ Avant toute chose je tiens à dire que j'ai vraiment apprécié la lecture de ta fiche.
Intro: Ca me va, même si le métier est flou il me faudra l'intitulé exact quand tu le recensera.
Physique: Bien décris, superbe.
Mental: Un psychopathe... avec un bon fond, original! j'ai le droit d'être fan en tant que Maire?
Histoire: quelques fautes, au moment où tu deviens un peu dur avec les femmes, ça casse un peu le rythme mais c'était le passage culminant, du coup rien de très grave. Corrige si t'as le temps mais sinon ça n’empêche pas la validation.
Bilan: J'ai adoré, j'ai hâte de voir ce que ça donnera en rp. Juste un point à préciser à Araluen tous les hybrides ne sont pas maltraité, ils sont intégrés au mieux dans la société, m^me si il reste des cas d'esclavagisme, mais en aucun cas légal. Voilà voilà si ça gêne pas le concept de ton perso je te validerai o/
Intro: Ca me va, même si le métier est flou il me faudra l'intitulé exact quand tu le recensera.
Physique: Bien décris, superbe.
Mental: Un psychopathe... avec un bon fond, original! j'ai le droit d'être fan en tant que Maire?
Histoire: quelques fautes, au moment où tu deviens un peu dur avec les femmes, ça casse un peu le rythme mais c'était le passage culminant, du coup rien de très grave. Corrige si t'as le temps mais sinon ça n’empêche pas la validation.
Bilan: J'ai adoré, j'ai hâte de voir ce que ça donnera en rp. Juste un point à préciser à Araluen tous les hybrides ne sont pas maltraité, ils sont intégrés au mieux dans la société, m^me si il reste des cas d'esclavagisme, mais en aucun cas légal. Voilà voilà si ça gêne pas le concept de ton perso je te validerai o/
Re: Sokaro, le fléau féminin
par Sokaro Yeeghar Jeu 4 Aoû - 21:09
@Mai : LEPERSODONJECONAIPASLENOOOOOOOM Merci pour l'accueil mais je ne suis pas ton petit Sokaro quand même D:
Logan : Bonsoir et merci ! Ca fait beaucoup de compliment et tu me gêne un peu ://) j'ai modifié pour corriger mes erreurs et j'ai pris connaissances des points de ton messages ! En tout état de cause, j'ai donc terminé ma fiche sauf si tu vois encore des choses que je dois changer
Logan : Bonsoir et merci ! Ca fait beaucoup de compliment et tu me gêne un peu ://) j'ai modifié pour corriger mes erreurs et j'ai pris connaissances des points de ton messages ! En tout état de cause, j'ai donc terminé ma fiche sauf si tu vois encore des choses que je dois changer
Sokaro Yeeghar- Messages : 34
Date d'inscription : 04/08/2016
Feuille de personnage
Race: Humain
fiches personnage:
Sexualité: Hybridosexuel
Re: Sokaro, le fléau féminin
par Oberon Verister Blade Jeu 4 Aoû - 21:30
Je peux fièrement dire que tu es validé o/
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum